Dés 2001 le constat de l'insuffisance des moyens mis en oeuvre pour la télésurveillance est clair.
En préambule à la présentation de la technologie de télévidéosurveillance via le web, cette introduction dégage le cahier des charges de la levée de doute par l'image.
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lundi 22 janvier 2007
J'y étais ou le youtube du futur
A la convergence du GPS, du PDA, de la caméra et du téléphone se trouve le personal Interactor. C'est entendu depuis un bon moment déjà et l'évolution des téléphones intelligents s'inscrit totalement dans cette prévision. De nouveaux services, comme le GPS pour téléphone mobile de Orange apparraissent et donnent le la pour les générations à venir.
Dans les frémissements de la vidéo, Youtube a défrayé la chronique d'abord en se faisant racheter for cher par Google, mais surtout en ouvrant la voie, comme d'autres sites francophones comme www.dailymotion.com à une génération de publication de vidéo par le plus grand nombre qui sera bientà´t possible depuis les téléphones portables.
Alors que peut-on espérer de plus ? La réponse est simple : nous désirons enregistrer le plus possible de détails sur chaque instant. C'est le coté artistique de la démarche média, qui en figeant un aspect de la réalité sur un support digital, agit comme un aiguillon dans le talon du temps qui passe.
On a enregistré l'image, puis le son. On n'a pas encore enregistré les coordonnées GPS des films que l'on tourne. Or c'est important et même fondamental, comme preuve ou simple complément d'information.
Au moment o๠j'écris, la formidable équipe de développement de Google a déjà intégré à son gestionnaire d'images et de vidéos gratuit, Picasa II, un menu de géolocalisation pour associer un souvenir visuel à sa localisation géographique sur la mappemonde virtuelle vertigineuse et envoutante qu'est Google Earth...
On peut inférer assez simplement que la prochaine technologie nomade enregistrera les coordonnées GPS avec l'image et permettra l'indexation automatique dans Google Earth. On pourra consulter ses photos par date, par catégorie ou encore par localisation géographique. Voilà , j'y étais.
Dans les frémissements de la vidéo, Youtube a défrayé la chronique d'abord en se faisant racheter for cher par Google, mais surtout en ouvrant la voie, comme d'autres sites francophones comme www.dailymotion.com à une génération de publication de vidéo par le plus grand nombre qui sera bientà´t possible depuis les téléphones portables.
Alors que peut-on espérer de plus ? La réponse est simple : nous désirons enregistrer le plus possible de détails sur chaque instant. C'est le coté artistique de la démarche média, qui en figeant un aspect de la réalité sur un support digital, agit comme un aiguillon dans le talon du temps qui passe.
On a enregistré l'image, puis le son. On n'a pas encore enregistré les coordonnées GPS des films que l'on tourne. Or c'est important et même fondamental, comme preuve ou simple complément d'information.
Au moment o๠j'écris, la formidable équipe de développement de Google a déjà intégré à son gestionnaire d'images et de vidéos gratuit, Picasa II, un menu de géolocalisation pour associer un souvenir visuel à sa localisation géographique sur la mappemonde virtuelle vertigineuse et envoutante qu'est Google Earth...
On peut inférer assez simplement que la prochaine technologie nomade enregistrera les coordonnées GPS avec l'image et permettra l'indexation automatique dans Google Earth. On pourra consulter ses photos par date, par catégorie ou encore par localisation géographique. Voilà , j'y étais.
lundi 8 janvier 2007
Normes techniques des systèmes de vidéosurveillance
J.O. 233 du 7 octobre 2006
Ce document peut également être consulté sur le site officiel Legifrance
Arrêté du 26 septembre 2006 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance
NOR : INTC0600806A
Le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire,
Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée relative à la sécurité ;
Vu le décret no 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l'application de l'article 10 de la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation relative à la sécurité, modifié par le décret no 2002-814 du 3 mai 2002 pris pour l'application de l'article 21 de la loi no 2000-321 du 12 avril 2000 et relatif aux délais faisant naître une décision implicite de rejet et par le décret no 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives,
Arrête :
Les caméras sont réglées, équipées et connectées au système de visualisation et, le cas échéant, au système de stockage, de façon que les images restituées lors de la visualisation en temps réel ou en temps différé permettent de répondre aux finalités pour lesquelles le système de vidéosurveillance a été autorisé.
C'était bien de le dire, les caméras doivent être opérationnelles.
Les caméras présentent les caractéristiques techniques adaptées aux conditions d'illumination du lieu vidéosurveillé.
Les réseaux sur lesquels transitent les flux vidéo offrent une bande passante compatible avec les débits nécessaires à la transmission d'images de qualité suffisante pour répondre aux finalités pour lesquelles le système de vidéosurveillance a été autorisé.
Il fallait aussi le préciser, ici nous prenons pleinement la mesure de l'intégration des réseaux IP dans la vidéosurveillance.
Les réseaux sur lesquels transitent les flux vidéo prennent en compte la sécurité de ces derniers, garantissant leur disponibilité, leur confidentialité et leur intégrité.
Le stockage des flux vidéo est réalisé sur support numérique pour les systèmes de vidéosurveillance comportant huit caméras ou plus. Ce stockage peut également être réalisé sur un autre type de support. Le stockage des flux vidéo est réalisé sur support analogique ou numérique pour les systèmes de vidéosurveillance comportant moins de huit caméras.
Ce passage est sensiblement inutile.
Tout flux vidéo enregistré numériquement est stocké avec des informations permettant de déterminer à tout moment de la séquence vidéo sa date, son heure et l'emplacement de la caméra.
A noter que la datation n'est pas forcément explicite, c'est à dire incrustée dans l'image. Elle peut être interne au format informatique de données utilisé pour le stockage des fichiers de vidéo.
Pour les systèmes à enregistrement analogique des flux vidéo, un dispositif permet de déterminer à tout moment la date, l'heure et l'emplacement de la caméra correspondant aux images enregistrées.
Dans le cas d'un enregistrement analogique, c'est la même chose mais l'information est remplacée par un dispositif.
L'enregistrement numérique garantit l'intégrité des flux vidéo et des données associées relatives à la date, à l'heure et à l'emplacement de la caméra.
i.e; pas de modification du flux vidéo lors de l'enregistrement. Attention, une incrustation d'horodatage peut être interprétée comme un masquage...
Les flux vidéo stockés issus des caméras qui, compte tenu de leur positionnement et de leur orientation, fonctionnent principalement en plan étroit, à l'exclusion de celles de régulation du trafic routier, ont un format d'image supérieur ou égal à 704x576 pixels. Ce format pourra être inférieur si le système permet l'extraction de vignettes de visage d'une résolution minimum de 90x60 pixels.
Le format 704x576 ou 4SIF est la plus haute résolution disponible sur les encodeurs de vidéosurveillance à ce jour. Seule la HD, passant à 1080 pixels permettra des images de résolution supérieure.
Les autres flux vidéo stockés ont un format d'image supérieur ou égal à 352x288 pixels.
Résolution SIF.
Une fréquence minimale de douze images par seconde est requise pour l'enregistrement des flux vidéo issus de caméras installées pour une des finalités mentionnées au II de l'article 10 de la loi du 21 janvier 1995 susvisée, à l'exclusion de celles de régulation du trafic routier, et qui, compte tenu de leur positionnement et de leur orientation, fonctionnent principalement en plan étroit et filment principalement des flux d'individus en déplacement rapide.
Pour l'enregistrement des autres flux vidéo, une fréquence minimale de six images par seconde est requise.
Le système de stockage utilisé est associé à un journal qui conserve la trace de l'ensemble des actions effectuées sur les flux vidéo.
Pour les systèmes numériques, ce journal est généré automatiquement sous forme électronique.
Les flux vidéo sont exportés sans dégradation de la qualité :
La vidéo exportée ne subit pas d'altération.
Pour les systèmes de vidéosurveillance utilisant la technologie analogique, un dispositif détermine la liste des flux exportés indiquant la date et l'heure des images filmées, leur durée, l'identifiant des caméras concernées, la date et l'heure de l'exportation, l'identité de la personne ayant réalisé l'exportation.
Pour les systèmes de vidéosurveillance utilisant la technologie numérique, un journal électronique des exportations, comportant les informations citées à l'alinéa précédent, est généré automatiquement.
Le système d'enregistrement reste en fonctionnement lors de ces opérations d'exportation.
Le support physique d'exportation est un support numérique non réinscriptible et à accès direct, compatible avec le volume de données à exporter. Dans le cas de volumes importants de données à exporter, des disques durs utilisant une connectique standard pourront être utilisés. Pour les systèmes numériques de vidéosurveillance, un logiciel permettant l'exploitation des images est fourni sur support numérique, disjoint du support des données.
La relecture des données exportées est effectuée par un logiciel player indépendant de la vidéo.
Le logiciel permet :
1° La lecture des flux vidéo sans dégradation de la qualité de l'image ;
2° La lecture des flux vidéo en accéléré, en arrière, au ralenti ;
3° La lecture image par image des flux vidéo, l'arrêt sur une image, la sauvegarde d'une image et d'une séquence, dans un format standard sans perte d'information ;
4° L'affichage sur l'écran de l'identifiant de la caméra, de la date et de l'heure de l'enregistrement ;
5° La recherche par caméra, date et heure.
Il est important de noter qu'à ce point de l'arrêté, il y a une totale confusion entre la consultation de la vidéo exportée et la consultation de la vidéo enregistrée. Les logiciels permettant le visionnage de la vidéo dans les deux cas sont totalement distincts. Dans le cas du visionnage de la vidéo enregistrée, les fonctions importantes sont les fonctions de recherche et d'affichage multi-caméras. Par contre, le visionnage de la vidéo exportée ne requiert rien de plus qu'un "player" évolué permettant l'arrêt sur image, la lecture arriêre et la validation de l'authenticité de la séquence.
Le directeur général de la police nationale et le directeur général de la gendarmerie nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 septembre 2006.
Nicolas Sarkozy
Ce document peut également être consulté sur le site officiel Legifrance
Arrêté du 26 septembre 2006 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance
NOR : INTC0600806A
Le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire,
Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée relative à la sécurité ;
Vu le décret no 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l'application de l'article 10 de la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation relative à la sécurité, modifié par le décret no 2002-814 du 3 mai 2002 pris pour l'application de l'article 21 de la loi no 2000-321 du 12 avril 2000 et relatif aux délais faisant naître une décision implicite de rejet et par le décret no 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives,
Arrête :
Article 1
Les caméras sont réglées, équipées et connectées au système de visualisation et, le cas échéant, au système de stockage, de façon que les images restituées lors de la visualisation en temps réel ou en temps différé permettent de répondre aux finalités pour lesquelles le système de vidéosurveillance a été autorisé.
C'était bien de le dire, les caméras doivent être opérationnelles.
Les caméras présentent les caractéristiques techniques adaptées aux conditions d'illumination du lieu vidéosurveillé.
Les réseaux sur lesquels transitent les flux vidéo offrent une bande passante compatible avec les débits nécessaires à la transmission d'images de qualité suffisante pour répondre aux finalités pour lesquelles le système de vidéosurveillance a été autorisé.
Il fallait aussi le préciser, ici nous prenons pleinement la mesure de l'intégration des réseaux IP dans la vidéosurveillance.
Les réseaux sur lesquels transitent les flux vidéo prennent en compte la sécurité de ces derniers, garantissant leur disponibilité, leur confidentialité et leur intégrité.
Article 2
Le stockage des flux vidéo est réalisé sur support numérique pour les systèmes de vidéosurveillance comportant huit caméras ou plus. Ce stockage peut également être réalisé sur un autre type de support. Le stockage des flux vidéo est réalisé sur support analogique ou numérique pour les systèmes de vidéosurveillance comportant moins de huit caméras.
Ce passage est sensiblement inutile.
Tout flux vidéo enregistré numériquement est stocké avec des informations permettant de déterminer à tout moment de la séquence vidéo sa date, son heure et l'emplacement de la caméra.
A noter que la datation n'est pas forcément explicite, c'est à dire incrustée dans l'image. Elle peut être interne au format informatique de données utilisé pour le stockage des fichiers de vidéo.
Pour les systèmes à enregistrement analogique des flux vidéo, un dispositif permet de déterminer à tout moment la date, l'heure et l'emplacement de la caméra correspondant aux images enregistrées.
Dans le cas d'un enregistrement analogique, c'est la même chose mais l'information est remplacée par un dispositif.
L'enregistrement numérique garantit l'intégrité des flux vidéo et des données associées relatives à la date, à l'heure et à l'emplacement de la caméra.
i.e; pas de modification du flux vidéo lors de l'enregistrement. Attention, une incrustation d'horodatage peut être interprétée comme un masquage...
Les flux vidéo stockés issus des caméras qui, compte tenu de leur positionnement et de leur orientation, fonctionnent principalement en plan étroit, à l'exclusion de celles de régulation du trafic routier, ont un format d'image supérieur ou égal à 704x576 pixels. Ce format pourra être inférieur si le système permet l'extraction de vignettes de visage d'une résolution minimum de 90x60 pixels.
Le format 704x576 ou 4SIF est la plus haute résolution disponible sur les encodeurs de vidéosurveillance à ce jour. Seule la HD, passant à 1080 pixels permettra des images de résolution supérieure.
Les autres flux vidéo stockés ont un format d'image supérieur ou égal à 352x288 pixels.
Résolution SIF.
Une fréquence minimale de douze images par seconde est requise pour l'enregistrement des flux vidéo issus de caméras installées pour une des finalités mentionnées au II de l'article 10 de la loi du 21 janvier 1995 susvisée, à l'exclusion de celles de régulation du trafic routier, et qui, compte tenu de leur positionnement et de leur orientation, fonctionnent principalement en plan étroit et filment principalement des flux d'individus en déplacement rapide.
Pour l'enregistrement des autres flux vidéo, une fréquence minimale de six images par seconde est requise.
Le système de stockage utilisé est associé à un journal qui conserve la trace de l'ensemble des actions effectuées sur les flux vidéo.
Pour les systèmes numériques, ce journal est généré automatiquement sous forme électronique.
Article 3
Les flux vidéo sont exportés sans dégradation de la qualité :
La vidéo exportée ne subit pas d'altération.
Pour les systèmes de vidéosurveillance utilisant la technologie analogique, un dispositif détermine la liste des flux exportés indiquant la date et l'heure des images filmées, leur durée, l'identifiant des caméras concernées, la date et l'heure de l'exportation, l'identité de la personne ayant réalisé l'exportation.
Pour les systèmes de vidéosurveillance utilisant la technologie numérique, un journal électronique des exportations, comportant les informations citées à l'alinéa précédent, est généré automatiquement.
Le système d'enregistrement reste en fonctionnement lors de ces opérations d'exportation.
Le support physique d'exportation est un support numérique non réinscriptible et à accès direct, compatible avec le volume de données à exporter. Dans le cas de volumes importants de données à exporter, des disques durs utilisant une connectique standard pourront être utilisés. Pour les systèmes numériques de vidéosurveillance, un logiciel permettant l'exploitation des images est fourni sur support numérique, disjoint du support des données.
La relecture des données exportées est effectuée par un logiciel player indépendant de la vidéo.
Le logiciel permet :
1° La lecture des flux vidéo sans dégradation de la qualité de l'image ;
2° La lecture des flux vidéo en accéléré, en arrière, au ralenti ;
3° La lecture image par image des flux vidéo, l'arrêt sur une image, la sauvegarde d'une image et d'une séquence, dans un format standard sans perte d'information ;
4° L'affichage sur l'écran de l'identifiant de la caméra, de la date et de l'heure de l'enregistrement ;
5° La recherche par caméra, date et heure.
Il est important de noter qu'à ce point de l'arrêté, il y a une totale confusion entre la consultation de la vidéo exportée et la consultation de la vidéo enregistrée. Les logiciels permettant le visionnage de la vidéo dans les deux cas sont totalement distincts. Dans le cas du visionnage de la vidéo enregistrée, les fonctions importantes sont les fonctions de recherche et d'affichage multi-caméras. Par contre, le visionnage de la vidéo exportée ne requiert rien de plus qu'un "player" évolué permettant l'arrêt sur image, la lecture arriêre et la validation de l'authenticité de la séquence.
Article 4
Le directeur général de la police nationale et le directeur général de la gendarmerie nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 septembre 2006.
Nicolas Sarkozy
Reportage télévisé sur TF1 en mai 2005
La solution déployée par Sphinx Vision est encore une fois plebiscitée à la télévision. Elle repose sur le standard de compression MPEG-4 et utilise le réseau sDSL urbain de Epinay sur Seine.
dimanche 7 janvier 2007
Vidéosurveillance urbaine sur réseau sDSL en 2004
En juillet 2004, Epinay sur Seine recherchait la solution pour sa vidéosurveillance urbaine.
Gràce à la technologie de Sphinx Vision, enregistrement et visualisation via navigateur Internet, les premières caméras furent installées dés novembre 2004.
Ce reportage filmé lors du salon des maires et des collectivités locales, sur le stand de France Télécom, en novembre 2004, présente l'activité de Sphinx Vision et positionne déjà l'analyse vidéo comme la prochaine étape des technologies de vidéosurveillance.
Gràce à la technologie de Sphinx Vision, enregistrement et visualisation via navigateur Internet, les premières caméras furent installées dés novembre 2004.
Ce reportage filmé lors du salon des maires et des collectivités locales, sur le stand de France Télécom, en novembre 2004, présente l'activité de Sphinx Vision et positionne déjà l'analyse vidéo comme la prochaine étape des technologies de vidéosurveillance.
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